Istanbul, une mégapole réenchantée par ses chats dans le documentaire Kedi de Ceyda Torun

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15 juillet 2021

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Stéphane Sawas, « Istanbul, une mégapole réenchantée par ses chats dans le documentaire Kedi de Ceyda Torun », Textes et contextes, ID : 10670/1.wqq6x4


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Dans son premier long-métrage Kedi – Des chats et des hommes (2016), la documentariste turque Ceyda Torun donne à voir Istanbul, sa ville natale, à travers les liens privilégiés que ses habitants entretiennent non avec les chats domestiqués mais avec les innombrables chats errants de la cité. Elle se détourne d’un point de vue anthropocentrique en filmant à hauteur de chat la relation des chats au monde humain, animal et végétal. Constitutive de l’identité de cette mégapole, cette triple relation remet en question l’opposition entre ville et nature et contribue à réenchanter le sauvage urbain.

In her first full-length documentary Kedi (2016), Turkish filmmaker Ceyda Torun portrays her hometown Istanbul through the privileged relationship between its inhabitants and its cats – not the domesticated ones but the innumerous stray cats of the city. Distancing herself from a traditional anthropocentric viewpoint, the director films the connections between the human, the animal and the vegetal worlds from the felines’ height and perspective. This network of connections is part of the identity of the megacity; it undermines the idea of a dichotomy between the city and nature, thus reenchanting urban wildness.

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