Traces et résidus cadavériques dans l’art, le minimalisme comme réalisme

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2009

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Résumé Fr

Si la mort, le mort nous dérangent ce n’est pas tant l’idée qui est en cause, mais ces corps – devenus cadavres - qu’on ne veut plus voir et qu’on ne sait plus comment appréhender. Tout concourt à nous éloigner d’un contact direct avec les corps morts, particulièrement au regard de ce qui les caractérise, un état de décomposition, de détérioration de l’intégrité corporelle. Dans un même temps, et paradoxalement, les cadavres, certains de leurs matériaux constitutifs, ceux là mêmes qui nous font horreur, s’invitent dans les mondes de l’art comme matériaux de création, comme sujets d’exposition et deviennent ainsi les objets d’une expérience esthétique possible.

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