The sacred as a relational agent between humans and non-humans Le sacré un agent relationnel entre les humains et les non-humain En Fr

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18 juillet 2022

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Etienne Gresillon et al., « Le sacré un agent relationnel entre les humains et les non-humain », HAL-SHS : géographie, ID : 10670/1.x140qk


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Résumé En Fr

The sacred constructs specific relationships between humans and non-humans (Sajaloli and Grésillon 2019) In the trajectory that leads from planet earth to the divine, natural environments are determinant. Each environmental form induces a particular spirituality and, in turn, the sacred shapes, sculpts, these forms and conditions management. Forests, wetlands, oases, seas, mountains, rivers, lakes refer to different figures of the sacred according to the religions and according to the times (Grésillon and Sajaloli 20s20). Natural environments are torn between, on the one hand, animist or totemistic spiritualities that sacralize the living and inhibit the destruction of ecosystems and, on the other hand, anthropocentric spiritualities that do not recognize the divine in nature, thus allowing its destruction. It could be interesting to study and understand the place of religion in the setting aside of certain areas as natural reserves or, on the contrary, the exploitation of other space.Natural environments are torn between, on the one hand, animist or totemistic spiritualities that sacralize the living and inhibit the destruction of ecosystems and, on the other hand, anthropocentric spiritualities that do not recognize the divine in nature, thus allowing its destruction. It could be interesting to study and understand the place of religion in the setting aside of certain areas as natural reserves or, on the contrary, the exploitation of other spaces.

Le sacré construit des relations spécifiques entre les humains et les non-humains (Sajaloli et Grésillon 2019) Dans la trajectoire qui conduit de la planète terre aux divins, les milieux naturels sont déterminants. Chaque forme environnementale induit une spiritualité particulière et, en retour, le sacré façonne, sculpte, ces formes et conditionne la gestion. Les forêts, les zones humides, les oasis, les mers, les montagnes, les rivières, les lacs renvoient à des figures du sacré différent en fonction des religions et en fonction des époques (Grésillon et Sajaloli 2020). Les milieux naturels sont ballotés entre d’un côté des spiritualités animistes ou totémistes qui sacralisent les vivants et inhibent les actions de destruction des écosystèmes et de l’autre des spiritualités anthropocentriques qui ne reconnaissent pas de divin dans la nature permettant ainsi sa destruction. Il pourrait être intéressant d’étudier de comprendre la place de la religion dans la mise en réserve naturelle de certaines zones ou au contraire l’exploitation d’autres espaces.

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