The Effect of Women Academic Leaders on Canadian Natural Sciences and Engineering Professors

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2021

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Canadian Journal of Higher Education ; vol. 51 no. 2 (2021)

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©, 2021JenniferDengate, RenéeHoffart, TraceyPeter, AnnemiekeFarenhorst, TamaraFranz-Odendaal




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Jennifer Dengate et al., « The Effect of Women Academic Leaders on Canadian Natural Sciences and Engineering Professors », Canadian Journal of Higher Education / Revue canadienne d'enseignement supérieur, ID : 10.47678/cjhe.vi0.188941


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Résumé En Fr

Using a sample of women natural sciences and engineering (NSE) faculty members from 13 Canadian universities, we investigated the impact of women academic leaders on women professors’ perceptions of gender bias. Logistic regression analyses indicated that professors who perceived more workplace gender bias were more likely to feel that they needed to work harder to be seen as legitimate scholars than those who perceived less gender bias. However, professors who perceived that women were better represented amongst their faculty/college and university leadership were significantly less likely to feel that they needed to work harder for legitimacy than those who perceived greater gender bias in leadership. These results suggest that addressing gendered university hierarchies may moderate the impact of gender bias on women in NSE units.

Notre étude porte sur l’influence des femmes en position de leadership en milieu universitaire sur la perception des préjugés sexistes chez les professeures. L’échantillon étudié comporte des femmes du corps professoral en sciences naturelles et en génie (SNG) parmi 13 universités canadiennes. Des analyses fondées sur des régressions logistiques montrent que les professeures qui perçoivent davantage de préjugés sexistes en milieu de travail sentent qu’elles doivent travailler plus fort pour se sentir légitimes, comparativement à celles qui perçoivent moins ces mêmes préjugés. Toutefois, si le corps professoral et la direction comptent des femmes, les professeures ressentent beaucoup moins l’obligation de travailler plus fort pour se sentir légitimes, comparativement à celles qui perçoivent plus de préjugés au sein de la direction. Les résultats donnent à penser qu’une réflexion sur la hiérarchie genrée en milieu universitaire pourrait atténuer les effets des préjugés sexistes sur les femmes en SNG.

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