2021
Cairn
Sylvie Thorel, « Le laid idéal », L'Année balzacienne, ID : 10670/1.x2x7eh
Dans son dernier roman, Balzac se consacre à l’entreprise la plus paradoxale qui soit : sauver le beau idéal, qui n’a plus cours sous la monarchie de Juillet, en l’abritant sous l’enveloppe extravagante et prosaïque du grotesque. Ce qu’on appelle son « réalisme » ne constituerait‑il pas un jeu de l’envers, la mise au point humoristique d’une forme de « laid idéal » ?