Béatrice Bonhomme et Tristan Hordé (dir.) . Jude Stéfan, le festoyant français: Actes du colloque de Cerisy 5-12 septembre 2012

Fiche du document

Date

15 mars 2014

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

http://creativecommons.org/licenses/by-nc/



Citer ce document

Béatrice Bonhomme et al., « Béatrice Bonhomme et Tristan Hordé (dir.) . Jude Stéfan, le festoyant français: Actes du colloque de Cerisy 5-12 septembre 2012 », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.x5qdp6


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Une semaine à Cerisy autour des livres de Jude Stéfan, en sa présence, a permis une riche exploration de poésies et de proses publiées depuis 1967. La variété des communications, d’universitaires souvent engagés dans la création (écriture, peinture), éclaire bien des aspects d’une œuvre singulière aux formes multiples (poèmes, nouvelles, essais, dialogues, journal).No 22. 2014. 1 vol., 312 p., broché, 15,5 × 23,5 cm. ISBN 978-2-7453-2787-1. 55 €Une semaine à Cerisy autour des livres de Jude Stéfan, en sa présence, a permis une riche exploration de poésies et de proses publiées depuis 1967. La variété des communications, d’universitaires souvent engagés dans la création (écriture, peinture), éclaire bien des aspects d’une œuvre singulière aux formes multiples (poèmes, nouvelles, essais, dialogues, journal). Cette œuvre, si complexe soit-elle, renouvelle le lyrisme et illustre à sa manière ces vers de l’un des derniers recueils : « le crâne de vanité repose / sur mes livres inertes » (Que ne suis-je Catulle, 2010). Des inédits ouvrent les actes de ce colloque inventif.Table des matièresBéatrice Bonhomme et Tristan Hordé, PréfaceJude Stéfan, InéditsMichel Sicard, « Le poème d’amour : blason d’un corps écartelé »Noémie Parant, « Lettre à Jude Stéfan (autour de Lettres tombales et de Lettre à une morte) »Béatrice Bonhomme, « Les douces dures sœurs stéfaniennes : étude sur La Vieille Parque »Catherine Soulier, « Trop de rose dans la prose »Tristan Hordé, « Jeux des formes dans la poésie de Jude Stéfan »Jean-Luc Pestel, « Une poétique de sutures, rhapsodie stéfanienne »Renée Ventresque, « Jude Stéfan "tour à tour et pluriellement". Fragment pour un autoportrait Faux journal (1986), Senilia (1994), Silles (1997), Le Sillographe (2004) »Christian Prigent, « Hiéroglyphe des différences (explication de texte) »Bénédicte Gorrillot, « Jude Stéfan, un Catulle moderne ? »Yves Di Manno, « Un lecteur contemporain »Philippe Beck, « Stéfan ou la gnose ambivalente : le destin de la virtuosité entre La Fontaine et Celan »Caroline Andriot-Saillant, « Les "larmes de rire" de Jude Stéfan et des poètes métaphysiques anglais »Jean-Luc Despax, « Jude Stéfan : écrire malgré tout (ou rien, c’est selon) »Chantal Lapeyre-Demaison, « Le désastre et la grâce (sur Les États du corps de Jude Stéfan) »Marie-Françoise Lemonnier-Delpy, « "Glanures – ou ce que l’on a récolté d’une année". Déclinaisons du journal personnel selon Jude Stéfan »Étienne Faure, « L’enfance dans les textes de Jude Stéfan : la grande absente ? »Samuel Macaigne, « Le peintre de son poème »Aurélie Loiseleur, « "Poème / momie de l’énigme" : lecture et lisibilité dans "l’apoétique" stéfanienne »Jean-Claude Pinson, « Stéfan contre-lyrique »Philippe Di Meo, « Jude Stéfan : l’unité du disparate ou les chemins de la généalogie »BibliographieIndexPrésentation des auteursTable des matières

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en