Les portraits de Gallica

Résumé Fr

Chaque portrait est la tentative d’accéder à ce niveau d’être, tentative rarement réussie, disons modestement esquissée, projet-promesse […]. Chaque fois, c’est presque la même et pourtant elle déborde. Il semble qu’autour de chaque tête il y ait une aura possible avec laquelle cette personne, surtout s’il s’agit d’une femme, joue comme on chantonne, de façon à charmer. On ne saurait mesurer l’être. Un portrait, c’est en quelque sorte un pointillé.Hélion, Mémoire de la chambre jaune, Paris, 1994

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