26 novembre 2023
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Jean-Max Noyer, « Quelques considérations bienveillantes pour les faiseurs de graphes et quelques réquisits pour fonder les graphes de l'écologie territoriale ou La nouvelle terre et ses nouvelles peaux, la nouvelle Jérusalem écologique et la nouvelle pacification : l'artificialisation dans sa splendeur », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10670/1.xbvn59
Ces remarques ont pour origine un regard inquiet porté sur la prolifération très compréhensible et pour partie justifiée des programmes conçus (et des graphes qui vont avec) 1 pour mettre à jour les systèmes de relations internes des écologies dans un très grand nombre de domaines. Des agencements de la bio-diversité à ceux des hybrides humains / non-humains en passant par les dispositifs socio-cognitifs, sémiotiques et leurs technologies intellectives. Cela dans le but de faciliter l'évaluation environnementale (sociale, écologique, économique, noologique) des territoires, de promouvoir la fabrication de cartes (au deux sens de carta et mappa 2) et développer de manière générale les moyens de pilotage sémiotique, de réflexivité et de contrôle de nos sociétés.