Architecture et frugalité : révéler, réparer, réunir, et si trois gestes suffisaient ?

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2019

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Romain Cazaux, « Architecture et frugalité : révéler, réparer, réunir, et si trois gestes suffisaient ? », DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.xhxi8i


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L’architecture est constructive. Elle transforme la matière première en espace disponible à la vente et parait nécessaire au développement de la vie urbaine. La frugalité, empreinte de simplicité, de sobriété, apparaît comme une évidence face à la rareté des ressources premières. Architecture et frugalité sonne donc comme un paradoxe. Comment peut-on penser construire la ville sans dépenser un minimum de matières ? Comment peut-on imaginer répondre aux besoins humains, potentiellement illimités, avec des ressources limitées ? Comment peut-on faire de la frugalité une des vertus de l’architecture ? Partant de cette opposition, le mémoire s’interroge sur la façon d’habiter le monde plus sobrement. S’appuyant sur des expériences urbaines qui ont pour ambition de concilier l’architecture et la frugalité, le mémoire tente de comprendre le contexte dans lequel prennent forme ces alternatives, d’en étudier les différentes méthodes et d’interroger leur limite. Trois projets étudiés : le Caillou de Bougainville du collectif Fertile à Nantes, la rue Auguste Delacroix à Boulogne-sur-Mer de l'agence Construire et l'Hôtel Pasteur à Rennes de Sophie Ricard.

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