Les confréries religieuses en Alsace

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14 octobre 2022

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Louis Schaefli, « Les confréries religieuses en Alsace », HAL-SHS : histoire, ID : 10670/1.xkabob


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Qui se soucie encore de confréries ? Il peut paraître vain de vouloir évoquer une institution qui, si elle n'est déjà morte, finit de mourir. Elle ne répond apparemment plus aux conceptions d'aujourd'hui et, dès les années 1950, elle était vilipendée, même par le clergé. Tel chanoine, pour la discréditer, employait alors la formule ironique de "fanfare cycliste des mères chrétiennes". Tel curé, s'abritant derrière l'autorité de Karl Pfleger, qualifie le Tiers Ordre de "pompe à feu surannée" 2. Depuis lors, les confréries ont pratiquement disparu, même s'il en subsiste l'une ou l'autre. D'après les registres de l'Evêché, la Todesangst-Bruderschaft de Balgau est la dernière confrérie à avoir été érigée officiellement, le 15 juillet 1942 (A.E.S. Reg. 50c, 35, N° 5). Avec la fermeture progressive des presbytères, du fait de la raréfaction des prêtres, les archives et les publications des multiples confréries d'antan risquent également de disparaître, si ce n'est déjà fait. Du coup, il nous a semblé utile de dresser un inventaire, le plus complet possible, des confréries qui ont existé en Alsace et de collecter les données qui permettraient d'en écrire un jour l'histoire.

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