Kawina : entre tradition et modernité musicales chez les jeunes saamaka (Saramaka) de la Guyane française

Fiche du document

Date

2012

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Citer ce document

Apollinaire Anakesa Kululuka, « Kawina : entre tradition et modernité musicales chez les jeunes saamaka (Saramaka) de la Guyane française », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10670/1.xuzj8o


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

En langue saamaka, le mot kawina est constitué du démonstratif ka (ça ou cela) et du verbe wina (vibrer, frémir, tressaillir), d’où le substantif kawina : vibration, ce qui vibre et fait vibrer, qui fait tressaillir ou frémir ; du langage des musiciens ressort l’expression : « ça va vibrer ». Trois groupes surinamais - Soukousani, Aisassi et Wi Sani - sont à l’origine de cette musique populaire, dont le précurseur, en Guyane, a été Spoity Boys . D’autres groupes suivront sa voie, parmi lesquels, Kasébasaka de Gan Santi, Papa Yako d’Apatu, Young Boys et Wi Bassi de Kourou, ainsi que Umari.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Exporter en