Compte-rendu de lecture : Sylvain Grisot. Manifeste pour un urbanisme circulaire. Pour des alternatives concrètes à l’étalement urbain

Fiche du document

Date

1 avril 2021

Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

Lolita Gillet, « Compte-rendu de lecture : Sylvain Grisot. Manifeste pour un urbanisme circulaire. Pour des alternatives concrètes à l’étalement urbain », HAL-SHS : géographie, ID : 10670/1.xv05ce


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Avant toute chose, regardons l’ouvrage écrit par Sylvain Grisot dans sa matérialité : prise en main agréable, 230 pages environ, police et corps permettant une lecture aisée, ainsi qu’une marge extérieure qui offre un potentiel espace d’annotations. Un livre facilement transportable, échangeable, appropriable, soit l’idée que l’on se fait d’un manifeste. Et surtout, en première et quatrième de couverture, une illustration de Julien Billaudeau, diplômé de l’École supérieure des arts et industries graphiques (Estienne) et de l’École nationale des Arts décoratifs (EnsAD)1. Cette illustration représente, en elle-même, cette « déclaration écrite, publique et solennelle, dans laquelle un homme, un gouvernement, un parti politique expose une décision, une position ou un programme » qu’est le manifeste, selon le Trésor de la langue française informatisé. À ce sujet, la définition du manifeste en tant que genre littéraire (s’il en existe un), de par ses formes et objectifs divers, peut se révéler complexe. Claude Abastado (1980) rappelle la brièveté du texte, tandis qu’il l’oppose, justement, à la déclaration qui, elle, « affirme des positions sans demander aux destinataires d’y adhérer » (Abastado, 1980, p. 3). Il concède toutefois la multiplicité, par extension, des définitions et des morphologies.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Exporter en