Le soi écologique comme soi relationnel chez Val Plumwood et l’écologie scientifique

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2023

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Clarisse Pinchon, « Le soi écologique comme soi relationnel chez Val Plumwood et l’écologie scientifique », Bulletin d’histoire et d’épistémologie des sciences de la vie, ID : 10670/1.xy44qb


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L’objet de l’article est le soi écologique tel que l’a conceptualisé la philosophe australienne Val Plumwood comme étant un soi relationnel à la faveur d’un dialogue avec la deep ecology et Arne Naess. Il s’agit de montrer que ce soi relationnel correspond à une reconsidération du soi sous un angle écologique au sens scientifique du terme, aussi bien sur un plan ontologique que sur un plan plus incarné : le soi relationnel est une conceptualisation du moi au prisme d’une ontologie relationnelle portée par la science écologique, et la signification concrète du soi relationnel correspond aux conclusions de l’écologie scientifique.

The topic of this article is the relational self, that is to say the ecological self theorized by Australian philosopher Val Plumwood following a critical review of deep ecologist Arne Naess’s concept. It aims at showing how this relational self is theorized from the perspective of scientific ecology. Ontologically, the relational self is an understanding of the self which is consistent with the relational ontology carried by scientific ecology. On a more concrete level, the relational self is consistent with ecological theories.

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