Traces of life and movement that traces. Des traces de vie et du mouvement qui trace. En Fr

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Antoine Moreau, « Des traces de vie et du mouvement qui trace. », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.y51ebk


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Résumé En Fr

I am going to report here on two practices that apparently have no relation to each other, except for the questioning that they may provoke concerning the work of the author and the quality of the work. One is linked to the most ordinary materiality, the other to the immaterial whose consequences in the so-called "real" world remain to be discovered. The one is obviously of artistic nature, the other takes the opposite side of this demonstration to, undoubtedly, affirm an art of side as one speaks about a "step of side" and questions the aesthetic dimension of a making without will to make art. One was the result of a crisis of painting where I wondered what I could do interesting in this field after graduating from the Beaux-Arts and the other, of a discovery, that of free software and the principles that govern them via the legal formalization of licenses that state the rights.The first practice, I gave it the name of "Vitagraphy", which means "traces of life" and the second one is a play on words invented to qualify free software, the "copyleft" and which was going to be the main thread of the Free Art License of which I am at the initiative and co-editor.

Je vais faire ici état de deux pratiques qui apparemment n'ont pas de rapport entre elles, sauf l'interrogation qu'elles peuvent provoquer concernant le travail de l'auteur et la qualité de l'œuvre. L'une est liée à la matérialité la plus ordinaire, l'autre à l'immatériel dont il reste à découvrir les conséquences dans le monde dit « réel ». L'une est manifestement de nature artistique, l'autre prend le contre-pied de cette manifestation pour, sans doute, affirmer un art de côté comme on parle d'un « pas de côté » et questionne la dimension esthétique d'un faire sans volonté de faire art. L'une aura été le résultat d'une crise de la peinture où je me demandais ce que je pouvais faire d'intéressant dans ce domaine au sortir des Beaux-Arts et l'autre, d'une découverte, celle des logiciels libres et des principes qui les régissent via la formalisation juridique de licences qui en énoncent les droits.La première pratique, je lui ai donné le nom de « Vitagraphie », ce qui veut dire « traces de vie » et la deuxième est un jeu de mot inventé pour qualifier les logiciels libres, le « copyleft » et qui allait être le fil conducteur de la Licence Art libre dont je suis à l'initiative et co-rédacteur.

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