AK growth models: new evidence based on fractional integration and breaking trends

Fiche du document

Date

2009

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Cairn.info

Organisation

Cairn

Licence

Cairn




Citer ce document

Juncal Cuñado et al., « AK growth models: new evidence based on fractional integration and breaking trends », Recherches économiques de Louvain, ID : 10670/1.y9galy


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

D’après les modèles de croissance de type AK, un changement permanent du taux d’investissement a des effets permanents sur le taux de croissance d’un pays. Jones ( Quarterly Journal of Economics, 1995, 110, 495-525) confirme cette prédiction en analysant les propriétés des séries temporelles des taux de croissance du PIB et des taux d’investissement pour quinze pays de l’OCDE pour la période 1950-1988. Dans ce papier, nous testons la même hypothèse pour quatre pays de l’OCDE pour un plus longue période (1870-2002 pour le Canada, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, et de 1885-2002 pour le Japon). Aussi, au lieu d’utiliser une approche classique basée sur des processus I(0) ou des processus de racine unitaire I(1), nous utilisons une méthodologie basée sur l’intégration fractionnelle. Après avoir examiné l’ordre d’intégration des taux de croissance du PIB et des ratios d’investissement pour les pays mentionnés auparavant, nous ne pouvons pas rejeter la prédiction concernant les « effets de croissance » des modèles de croissance de type AK. En fait, nous ne pouvons rejeter cette prédiction que pour le cas du Royaume-Uni. Classification JEL – C32, O41.

According to AK growth models, permanent changes in investment rates have permanent effects on a country’s rate of economic growth. Jones ( Quarterly Journal of Economics, 1995, 110, 495-525) finds strong evidence against this prediction studying the time series properties of GDP growth rates and investment output ratios in fifteen OECD countries for the period 1950-1988. In this paper, we test the same hypothesis in four OECD countries using a longer span of data (1870-2002 for Canada, the UK and the US, and 1885-2002 for Japan). Moreover, instead of using classic approaches, which are based on stationary I(0) or unit roots I(1) processes, we use methodologies based on fractional integration. After examining the order of integration of GDP growth rates and non-residential investment ratios for these countries, we do not find much evidence against the “growth effects” prediction of AK models. In fact, we only find clear evidence against this theory for the UK case. JEL Classification – C22, O40.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en