Limites du rôle des confréries dans le rayonnement des dévotions en Provence sous l’Ancien régime

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2008

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Régis Bertrand, « Limites du rôle des confréries dans le rayonnement des dévotions en Provence sous l’Ancien régime », Publications de l'École Française de Rome (documents), ID : 10670/1.yb8jzh


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Trois de ces limites sont ici soulignées. Il n’y a point correspondance obligée entre une chapelle ou un autel et une confrérie. Des dévotions ont été proposées par l’intermédiaire de chapelles de familles ou de pieuses fondations. Les associations semi-fermées ou à recrutement sélectif, congrégations, compagnies de pénitents, confréries de métier, ont-elles fait rayonner une dévotion ou bien l’accaparaient-elles ? Enfin un ou deux «marguilliers» ou «bassiniers» (du nom du bassin de quête), parfois nommés à vie, ou bien des bénévoles pouvaient prendre en charge l’entretien d’un autel ou d’une chapelle et organiser leur desserte spirituelle. Sans doute convient-il de passer du constat de l’offre dévotionnelle en théorie proposée aux fidèles dès lors qu’elle existe dans leur paroisse à la pratique réelle de ces derniers ou du moins d’une partie d’entre eux, qu’elle s’exprime ou non dans le cadre associatif.

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