Fiche du document
2004
- handle: 10670/1.yilqgg
- halshs: halshs-02083943
- doi: 10.4000/books.editionsehess.3945
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/books.editionsehess.3945
Sujets proches
Ciencia--Investigación Investigación científica Investigación y desarrollo I+D Recherche scientifique Projet de recherche Activités de recherche Recherche fondamentale Projets de recherche Programmes de recherche Recherche scientifique Recherche pureCiter ce document
Ariadni Gartziou-Tatti, « Ἡ ἀσπίδα καὶ τὰ ὅπλα τοῦ Ἀχιλλέα. Εὐριπίδη, Ἠλέκτρα, στ. 455-475 », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10.4000/books.editionsehess.3945
Métriques
Partage / Export
Résumé
L’image des armes d’Achille telle qu’elle se dessine à travers les paroles du chœur dans le premier stasimon d’Électre d’Euripide a longtemps préoccupé la recherche. Toutefois, les interprétations proposées jusqu’à ce jour ne portent chaque fois que sur telle ou telle facette partielle du sujet. Le but de notre étude est de reconsidérer l’ode en question dans son ensemble en s’appuyant sur des données autant littéraires que mythologiques. Pendant cette recherche, nous pouvons dire qu’Euripide joue sur trois plans en même temps. Le premier transporte le spectateur dans un passé lointain. Le deuxième plan se rapproche du passé récent. Enfin, nous dirions que ce n’est que sur le troisième plan que le poète montre tout le pouvoir de son art.