Du jazz dans la production hip-hop : analyse de To pimp a butterfly de Kendrick Lamar

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5 mai 2022

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Paul Transon, « Du jazz dans la production hip-hop : analyse de To pimp a butterfly de Kendrick Lamar », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.yk2cvn


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Alors que le rap entame la cinquième décennie de son existence, de nombreuses tendances se dessinent quant à son histoire. C’est aujourd’hui un genre mature qui dispose de sous-genres, de grands noms et d’une géographie mondiale. Il n’a de cesse de se renouveler, faisant apparaître de nouveaux styles comme récemment la trap, qui a largement conquis la scène mainstream. Pourtant, Kendrick Lamar, un des rappeurs contemporains les plus célèbres et influents, souvent introduit comme le premier rappeur récompensé d’un prix Pulitzer, sort en 2015 un album surprenant. Dans cet album, To Pimp a Butterfly, Kendrick Lamar et son équipe de production nourrissent leur musique de jazz mais aussi de funk, de soul, de reggae et de rap « old school », soit un éventail fournit de genres musicaux africain-américains à la gloire passée. Ces genres fusionnent avec la musique de Lamar de façons aussi diverses que complexes et mettent l’accent sur leur parenté avec le rap actuel.

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