L’Université est en crise mais, contrairement au discours victimaire dominant, ses acteurs participent du nouvel ethos néolibéral, renforcent les positions dominantes acquises et refusent de mener à bien leur auto-analyse collective.
University is in crisis but, contrary to the prevailing discourse, its own agents contribute to the new neoliberal ethos, reinforce acquired dominant positions, and refuse to conduct their own collective self-analysis.