Quand les femmes libanaises font leur cinéma

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En 1974 et pour la première fois, les femmes libanaises occupent officiellement leur place dans la réalisation de films, avec Heiny Srour qui tourne son premier long métrage L’heure de libération a sonné et Jocelyne Saab qui un an plus tard filme la guerre libanaise. Pourtant, quand les femmes au cinéma libanais sont évoquées aujourd’hui, ce n’est que pour parler de la nouvelle génération ; Danielle Arbid, Joanna Hadjithomas et Nadine Labaki, trois femmes ayant obtenu la reconnaissance du festival de Cannes. L’histoire du début de ce cinéma reste peu abordée. Cette négligence pour le cinéma féminin présente des lacunes dans l’histoire du cinéma libanais qu’il faut impérativement remplir.

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