Noms propres : sens dénominatif et traductibilité sont-ils inconciliables ?

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2014

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Emilia Hilgert, « Noms propres : sens dénominatif et traductibilité sont-ils inconciliables ? », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.yz7l6q


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Résumé Fr

À Pierre Frath, en hommage à ses recherches multilingues. Mais peut-on traduire son nom ? Ou comment la convention et l'usage, si chers à Pierre Frath, régulent la traduction des noms propres. C ette ré exion sur la traductibilité des noms propres (Npr) s'est construite en marge d'échanges très stimulants 1 autour du livre de Georges Kleiber (1981) Problèmes de référence : descriptions dé nies et noms propres, qui constitue une pierre angulaire des études linguistiques sur le sens et la référence. Cet ouvrage suscite encore l'intérêt des chercheurs (cf. Frigerio, 2014, Hilgert, 2014), en rapport principalement avec le « prédi-cat de dénomination » proposé à l'époque, reconverti plus tard dans la formule du « Npr attribué à un N » (Kleiber, 2004 2). Une dé nition sémantique des Npr Le « prédicat de dénomination » ou le sens dénominatif non descriptif La préoccupation initiale de Kleiber (1981) était d' expliquer les ressemblances et les di érences sémantiques et référentielles entre les descriptions dé nies et les noms propres, ou l' opposition entre des énoncés tels que Le ls de mon voisin danse et Paul danse. En analysant les propositions de dé nition du Npr de 1. Je tiens à remercier Aldo Frigerio pour les multiples échanges que nous avons eus à propos de la théorie du sens dénominatif de Kleiber et Maria Tenchea pour ses conseils en traductologie.

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