L’érosion hydrique à l’échelle de Kfar Qouq (Liban)

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13 décembre 2018

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Hussein El Hage Hassan et al., « L’érosion hydrique à l’échelle de Kfar Qouq (Liban) », HAL-SHS : géographie, ID : 10670/1.z0a6eb


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Les caractères semi-arides de la plaine de la Békaa, le climat méditerranéen qui se particularise par une période sèche suivie d'une autre pluvieuse et les pratiques culturales participent à placer au centre des inquiétudes l'impact de l'érosion hydrique sur le paysage géographique de la région de Kfar Quouq. L'insuffisance des données météorologiques, pose un problème pour la recherche scientifique, notamment pour l'application des équations classiques en pertes de sol. Afin de surmonter cette difficulté, un certain nombre de stratégies permettent de contourner les obstacles rencontrés. Cette démarche permet d'estimer les pertes en sol sur un secteur avoisinant les 20km² où le risque érosif est fort et assez mal pris en compte actuellement. Quel est l'intérêt géographique du travail de recherche à une si grande échelle cartographique? L'équation universelle des pertes en terre (USLE) est-elle applicable ici et quelles sont ses difficultés d'utilisation dans le cadre d'un croisement avec un SIG? Pour tenter d'apporter des réponses plus précises, l'emploi de l'équation a nécessité, d'une part un travail préliminaire de reconstitution de l'intensité des précipitations, d'autre part un ensemble d'analyses d'échantillons de sols récoltés sur le terrain. La méthodologie développée, met en évidence son originalité par rapport aux démarches existantes. L'estimation des pertes en terre sera exposée sous forme de résultats spatialisés, avant d'être discutée.

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