Babbling and babblers in the works of Jean-Jacques Rousseau Babil et babillards chez Jean-Jacques Rousseau En Fr

Fiche du document

Date

10 juin 2020

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.15122/isbn.978-2-406-10565-7.p.0077

Collection

Archives ouvertes



Sujets proches En

Auricular confession

Citer ce document

Patrick Hochart, « Babil et babillards chez Jean-Jacques Rousseau », HAL-SHS : littérature, ID : 10.15122/isbn.978-2-406-10565-7.p.0077


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Rousseau’s use of “babbling” works on a number of levels, but never in the one context readers might expect—that of the noises made by young children. It primarily relates to a way of “speaking to say nothing,” which is often thoughtlessly encouraged in children, thereby training their minds to be flighty and vain. But it is also produced in two situations in which it is necessary to open one’s heart and “say everything,” those of confession and intimacy.

Le « babil » chez Rousseau opère dans des registres divers, exception faite de l’acception attendue, le gazouillis de l’infans. Il concerne d’abord une manière de « parler pour ne rien dire » qu’il est d’usage de favoriser inconsidérément chez les enfants, en leur formant un esprit volatil et vain. Mais il s’accomplit dans le double cas où il est de règle d’ouvrir son cœur et de « tout dire », celui de la confession et celui de l’intimité.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en