Self‐reported and accelerometry measures of sleep components in adolescents living in Pacific Island countries and territories: Exploring the role of sociocultural background

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6 mai 2024

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Guillaume Wattelez et al., « Self‐reported and accelerometry measures of sleep components in adolescents living in Pacific Island countries and territories: Exploring the role of sociocultural background », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10.1111/cch.13272


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Résumé En Fr

Objectives The objective of this study is to assess the concordance and its association with sociocultural background of a four‐question survey with accelerometry in a multiethnic adolescent population, regarding sleep components. Based on questions from the Pittsburgh Sleep Quality Index and adapted to a school context, the questionnaire focussed on estimating sleep onset time, wake‐up time and sleep duration on both weekdays and weekends. This subjective survey was compared with accelerometry data while also considering the influence of sociocultural factors (sex, place of living, ethnic community and socio‐economic status). Methods Adolescents aged 10.5–16 years ( n = 182) in New Caledonia completed the survey and wore an accelerometer for seven consecutive days. Accelerometry was used to determine sleep onset and wake‐up time using validated algorithms. Based on response comparison, Bland–Altman plots provided agreement between subjective answers and objective measures. We categorized participants' answers to the survey into underestimated , aligned and overestimated categories based on time discrepancies with accelerometry data. Multinomial regressions highlighted the sociocultural factors associated with discrepancies. Results Concordance between the accelerometer and self‐reported assessments was low particularly during weekends (18%, 26% and 19% aligned for onset sleep time, wake‐up time and sleep duration respectively) compared with weekdays (36%, 53% and 31% aligned, respectively). This means that the overall concordance was less than 30%. When considering the sociocultural factors, only place of living was associated with discrepancies in onset sleep time and wake‐up time primarily on weekdays. Rural adolescents were more likely to overestimate both onset sleep time (B = −1.97, p

Objectif : L'objectif de cette étude est d'estimer la concordance entre une enquête à quatre questions à propos du sommeil avec des mesures d'accélérométrie ainsi que son association avec des caractéristiques socioculturelles d'adolescents d'une population multiculturelle. Basé sur des questions tirées de l'indice de qualité du sommeil de Pittsburgh (Pittsburgh Sleep Quality Index), le questionnaire se concentre sur l'estimation de l'heure d'endormissement, l'heure de réveil et le temps de sommeil les jours de la semaine et les jours de week-end. Ce questionnaire subjectif a été comparé avec des données d'accélérométrie tout en considérant l'influence de facteurs socioculturels (sexe, lieu de vie, communauté culturelle et la classification socio-économique des parents).Méthodes : Les adolescents âgés de 10 ans et demi à 16 ans (n = 182) vivant en Nouvelle-Calédonie ont complété le questionnaire et porté un accéléromètre pendant sept jours consécutifs. Les heures d'endormissement et de réveil ont été déterminées par accélérométrie et à l'aide d'algorithmes validés. A partir de la comparaison avec les réponses, des graphes de Bland-Altman ont fourni les accords entre les réponses subjectives et les mesures objectives. Les réponses des participants ont été groupées en trois catégories selon l'écart observé avec les données d'accélérométrie : "sous-estimé", "en accord" et "surestimé". Des régressions multiomiales ont été utilisées pour mettre en évidence les facteurs socioculturels associés aux divergences observées.Résultats : La concordance entre les estimations par accélérométrie et auto-déclarées était faible, surtout durant les week-ends (18%, 26% et 19% étaient en accord pour respectivement l'heure d'endormissement, l'heure de réveil et le temps de sommeil) en comparaison avec les jours de semaine (36%, 53% et 31% en accord respectivement). Cela signifie que la concordance générale était d'environ 30%. En considérant les facteurs socioculturels, seul le lieu de vie était associé avec les divergences pour l'heure d'endormissement et l'heure de réveil, principalement les jours de la semaine. Les adolescents habitant en milieu rural avaient plus de chance de surestimer les heures : endormissement (B = -1,97 ; p < 0,001) et réveil (B = -1,69 ; p = 0,003).Conclusions : Cette étude a trouvé de faibles concordances entre les valeurs auto-déclarées et les valeurs de l'accélérométrie des composantes du sommeil. Elles étaient particulièrement faibles durant les jours de week-end pour les participants vivant en milieu rural. Alors que ce questionnaire comportant quatre question était utile et simple à remplir, il est nécessaire de prendre des précautions avant d'établir des conclusions à propos des habitudes de sommeil basées uniquement sur ce type de mesure.

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