La faute aux réseaux sociaux

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2 mai 2023

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Cécile Méadel et al., « La faute aux réseaux sociaux », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10.3917/apdem.066.0011


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Résumé Fr

Les réseaux sociaux numériques (RSN) sont désormais omniprésents dans la vie de tous, quels que soient l’âge, le niveau de formation, le métier de leurs usagers. Ils sont d’une extrême diversité dans leurs objectifs, leur script et leur architecture : les uns comme Facebook ou LinkedIn sont en position hégémonique. Certains sont fréquentés majoritairement par une catégorie sociale particulière (comme les jeunes avec TikTok) ou, tel Twitch, réservés à des communautés enfermées dans un certain entre-soi. Quelques-uns, comme MySpace, s'effondrent peu à peu ; de nouveaux émergent de manière continue. Quelles que soient leurs caractéristiques, ils interviennent dans toutes les sphères de l’activité, professionnelle, amicale, artistique, politique, affinitaire… Bref, ils contribuent à transformer l’espace public, à la fois en augmentant ou facilitant les prises de parole et en en démultipliant les modalités. Comme l’a montré Dominique Cardon, ils ne sont pas que des lieux où l’on raconte sa vie ; ils ouvrent des manières très plurielles pour un usager de se rendre présent au monde et d’interagir, en mobilisant ses multiples identités (de conducteur de travaux, d’amateur de chats, de défenseur de la chasse, de père de famille…) avec des collectifs différents, et en donnant à voir des aspects spécifiques de son existence selon le réseau choisi.L’omniprésence de l’usage des réseaux sociaux, leur appartenance à des oligopoles faiblement régulés, leur intervention dans la sphère du politique et beaucoup d’autres facteurs contribuent à nourrir de très nombreuses controverses et débats enflammés à leur propos…

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