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Sophie Béroud et al., « Misère de la critique : réponse à la confusion des arguments », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10.3917/neg.031.0139
Dans sa note critique, Christian Thuderoz argumente durement sur certains « savants actuels en sciences du travail et des relations sociales » qui seraient prisonniers ou victimes d’une véritable « confusion des arguments », exhumant leurs présupposés idéologiques, les accusant de ne pas respecter la règle wébérienne de l’impartialité scientifique et de subir de multiples effets qui les feraient retarder sur les mutations du travail contemporain et être nostalgiques (même si c’est d’une période qu’ils n’ont pas connue). Cela les conduirait à systématiquement considérer de manière péjorative la négociation collective d’entreprise.Cinq noms sont cités, quatre d’entre eux ont obtenu de pouvoir répondre à la critique – les auteurs de cette courte note qu’en clin d’œil à Marx plus qu’à Boudon, nous avons intitulée misère de la critique. (premier paragraphe)