Le combat du faucon

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Sylvie Giraud, « Le combat du faucon », Flaubert et le pouvoir des images, ID : 10670/1.zobfmx


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Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2. Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse" Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul." Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule." Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul" Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or" Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon." Brouillon, f° 420 : "il le decapuchonnait retirait son capuchon d'un d’un mouvemt preste α filant en ht l’oiseau, montait. - combat dans les airs -" Brouillon, f° 419 : "Julien apercevait qq chose un point noir dans le ciel. Julien desarmait le fauçon otait l’oiseau debridait les longes le lançait d’un fort mouvemt. Mais tout à coup Julien s'arrêtait tout coup subitemt lâchait q fois un cri rauque. il avait apercu un milan au dessus de lui decapuchonnait l'oiseau, ouvrait la main qui tenait ses longes, donnait une secousse - la bête hardie montait dans l’air, droit dans l'air comme une flèche - α l’on voyait deux larges points noirs tourner decrire des lignes courbes sur le ciel, se rapprocher se joindre, α bientôt se perdre puis disparaitre dans les profondeurs hauteurs infinies de l’azur. - descendre α peu à peu. le combat. durait qq temps pas. puis au rappel sans leurre, avoir besoin avoir besoin il revenait se replacer juste sur le poing tout - fremissant de colère la poit. - du sang sur ses α rouge de sang avec du sang à la guêle guele la gueule sanglante α frem tout encore de plaisir α tout fremissant enivré de plaisir. Puis le faucon ne tardait a redescendre tenant ayant dans ses pattes un milan qu'il dechiquetait α quand il ne restait plus de son mâtin qu’un ventre ouvert a des plum epars pennes dispersés plumes" Brouillon, f° 451v° : "Mais Julien s’arrêtait brusquemt, tout a coup decapuchonnait desarmait l’oiseau, ouvrait ses longes, donnait une le lançait d’une brusqumt le jetait brusquemt secousse. la bête hardie montait droit droit en l’air comme une fleche α l’on voyait α il repartait dans α le voir deux points noirs decrire des cercles courbes sur le ciel, se rapprocher, se rejoindre, puis se joindre puis α disparaitre dans les hauteurs infinies infinies de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre ayant liant dans ses pattes griffes un milan autre oiseau qu’il dechiquetait, rait - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées, - il revenait se placer juste de lui-même pr de lui même sur le poing. des morceaux de viande à la gueule α tout fremissant encore. les deux ailes fremissantes de plaisir" Brouillon, f° 429v° : "Julien s’arrêtait denouait son mai les liens denouait ses longes le lâchait tout à coup decapuchonnait l’oiseau, ouvrait ses longes, les lançait brusquement, la bête hardie montait droit en l’air comme une flèche, - α il regardait (nl) on voyait deux larges taches inegales tourner points noirs decrire deux courbes sur le ciel, au loin puis se joindre α et puis puis disparaitre dans les hauteurs de l’azur. Mais Le faucon ne tardait pas à redescendre, Puis redescendait tout en liant dans ses griffes un autre serrant dechirant de ses griffes qques oiseau qu’il dechirait dechiquetait α la - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées il revenait a de lui-même α repus α α de lui même puis α de lui mê puis poser juste se placer placer placer se poser placer poser placer sur le poing gantelet , les deux ailes fremissantes." Manuscrit définitif, f° 37 : "Julien, denouant ses longes, le lâchait tout à coup ; la bête hardie montait droit d en l’air comme une flèche ; α l’on voyait deux taches inegales tourner, se joindre, puis disparaître dans les hauteurs de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre, tout en dechirant un oi qqu’oiseau, α revenait se placer poser sur le gantelet, les deux ailes fremissantes."

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