Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Fiche du document
31 mars 2022
- handle: 10670/1.zoyuxr
Mots-clés
couronne périurbaine aire urbaine gentrification classes populaires ouvriers employés actifs immigration clivages socioprofessionnels quartiers populaires accessibilitéSujets proches
Couches populaires Peuple (classe sociale) Classes inférieures Milieux populaires Milieu populaire Petit peupleCiter ce document
Nicolas Raimbault et al., « Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique », Atlas social de Nantes, ID : 10670/1.zoyuxr
Métriques
Partage / Export
Résumé
Dans les discours médiatiques et le débat public, les métropoles sont couramment décrites comme l’espace des classes supérieures. Pourtant, les classes populaires qui regroupent les ouvrier·e·s et les employé·e·s, soit près de 13 millions d’actifs en 2017 en France, un nombre globalement stable depuis 1982, représentent encore aujourd’hui la moitié de la population des métropoles françaises. Avec 45 % de sa population appartenant aux classes populaires, l’aire urbaine nantaise ne déroge pas à la règle. Leurs espaces s’inscrivent dans la mosaïque des clivages socioprofessionnels de la métropole nantaise.