Botany, Informal Empire and the Colonial Roots of British Gardens

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4 avril 2024

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O’Morchoe Frances, « Botany, Informal Empire and the Colonial Roots of British Gardens », Revue française de civilisation britannique, ID : 10670/1.zyz46k


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Résumé En Fr

This article investigates the practices of colonial science through a study of one plant collector working for the Chinese Maritime Customs Service, an institution of Britain’s informal empire in China. Further, the article situates this collector and his work in the context of the boom in popular gardening in Britain at the time. Popular garden writing in the late 19th and early 20th century helped fold China’s temperate plants into the canon of “natural” British plants. I argue that garden writers used a “temperate imagination” to encourage readers to imagine the connections between their own gardens and the temperate realms of Britain’s empire. These authors, and the plants they described, helped bring empire home to amateur gardeners in Britain.

Cet article explore les pratiques des sciences coloniales à travers l’étude d’un collectionneur de plantes employé par les douanes maritimes chinoises, une institution qui faisait partie de l’empire informel du Royaume-Uni en Chine. Plus particulièrement, cet article analyse ce collectionneur et son activité dans le contexte du développement rapide du jardinage au Royaume-Uni à cette époque. Le récit de jardin, qui devint populaire vers la fin du XIXe et le début du XXe siècle, contribua à intégrer les plantes poussant dans les régions tempérées de Chine au canon des plantes britanniques ordinaires. Cet article montre que les auteurs de récits de jardin s’appuyèrent sur un « imaginaire tempéré » pour encourager leurs lecteurs à penser aux liens entre leurs propres jardins et les régions tempérées de l’Empire britannique. Ces auteurs, ainsi que les plantes qu’ils décrivaient dans leurs récits, contribuèrent à ancrer l’empire dans le quotidien des jardiniers amateurs au Royaume-Uni.

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