1999
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Joël Félix, « Chapitre II. Guerres et paix », Institut de la gestion publique et du développement économique
« On observe que quand même on leveroit une partie des nouveaux impôts, et qu’on feroit une partie de ces emprunts sans imposer... il faudroit en ce cas forcer comme on l’a dit les recouvrements des impôts au-delà des termes ordinaires, et charger les revenus du Roy d’intérêts plus forts, ce qui seroit encore plus susceptible d’inconvénients. L’argent et son intérêt, l’impôt et son recouvrement ont à cet égard un niveau comme l’eau... en sorte que ce que l’on gagne d’un côté on le perd nécessairement...