2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/vuj9
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Côme Simien, « Conclusion. Les révolutions de l’amitié », Presses universitaires de Rennes
Ô mes amis, il n’y a nul amy. La maxime empruntée à Montaigne – qui l’attribuait lui-même à Aristote – servit de fil rouge aux Politiques de l’amitié de Jacques Derrida. Elle le pourrait tout autant, nous semble-t-il, du livre qui s’achève en ces pages. Ô mes amis, il n’y a nul amy : ce cri du cœur aux sens multiples, indémêlables, convient si bien, par ses ambiguïtés mêmes, à la décennie révolutionnaire. Ô mes amis, il n’y a nul amy, disions-nous. Et l’on imagine Saint-Just, en 1793-1794, éprouver...