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Selon Gilles Deleuze, le cinéma de Kubrick est un « cinéma du cerveau » (Gilles Deleuze, L’Image-temps. Cinéma 2, Minuit, Paris, 1985, p. 267-268) plutôt qu’un cinéma du corps, c’est-à-dire un cinéma où c’est d’abord et avant tout « le cerveau qui est mis en scène » (ibid). Penser les rapports entre...