Ecologies of Belonging and the Mugshot Aesthetics

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12 mars 2019

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Cristina Grasseni, « Ecologies of Belonging and the Mugshot Aesthetics », Anthrovision, ID : 10.4000/anthrovision.2845


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Résumé En Fr Es

Based on an ethnographic approach as well as on cultural critique of relevant digital projects, this article confronts visual ‘ecologies of belonging’. Building on my ‘skilled visions’ approach, I propose a critical study of everyday visual apprenticeship of social and cultural stereotypes about looking. The main finding is that the act of looking and categorizing self and others should be understood as a form of relational and situated learning, rather than as a problem of (facial) recognition. The self-assertion with which we orient ourselves in a social environment on an everyday basis is telling of the enchanted quality of ‘making-believe’, as our own skilled vision makes us believe that it is indeed possible to sort and chart sociocultural groups on the basis of phenotypic classifications. However, the evidence of such ‘mugshot aesthetics’ is at best ambivalent. The mugshot view reduces our social abilities of reading complex and cultural cues to standard mechanisms, and ‘makes us believe’ that a perspicuous view of human types is achievable and indeed operationalizable in technologies of vision. The article proposes a more complex attitude to this issue based both on ethnographic interaction – including fieldwork, in-depth interviews and visual analysis.

Fondé sur une approche ethnographique ainsi que sur des réflexions critiques émises dans le cadre de projets numériques pertinents, cet article confronte les différentes modalités visuelles de "l'écologie de l'appartenance". A partir de mes recherches sur " les compétences visuelles", je propose une étude critique de l'apprentissage visuel des stéréotypes sociaux et culturels propres au "regarder". Le principal résultat est que l'acte de regarder et de catégoriser soit soi même soit les autres devrait être compris comme une forme d'apprentissage contextualisé et relationnel plutôt que comme un problème de reconnaissance (faciale). L'affirmation de soi, avec laquelle nous nous orientons dans un environnement social dans la vie quotidienne, nous révèle les qualités d'enchantement du "faire croire" comme nos propres compétences visuelles nous font croire que nous pouvons trier et ranger les groupes socio-culturels sur la base d'une classification phénotypique. Cependant, l'évidence de ces "clichés esthétiques" est plutôt ambivalent. Ces clichés réduisent nos propres compétences, à lire des indices visuels complexes, à des mécanismes normatifs et nous font croire qu'un vision claire des types humains est possible et de fait opérationnelle au sein des technologies propres à la vision. Cet article propose un positionnement plus complexe face à ces questions fondées tant sur des interactions ethnographiques lors du terrain et des interviews approfondis que sur des analyses visuelles.

Basado en un enfoque etnográfico, así como en la crítica cultural de proyectos digitales relevantes, este artículo confronta diferentes "ecologías visuales de pertenencia". Sobre la base de mi enfoque sobre las "visiones competentes", propongo un estudio crítico del aprendizaje visual cotidiano de los estereotipos sociales y culturales sobre la mirada. El principal argumento es que el hecho de verse y categorizarse a sí mismo y a los demás debe entenderse como una forma de aprendizaje relacional y situado, en lugar de un problema de reconocimiento (facial). La auto-convicción con la que nos orientamos en el entorno social todos los días da prueba de la calidad encantada de "hacer creer", ya que nuestra visión competente nos hace creer que, de hecho, es posible clasificar y ubicar grupos socioculturales sobre la base de clasificaciones fenotípicas. Sin embargo, la evidencia de tal "estética de la fotografía policial" es, en el mejor de los casos, ambivalente. La vista instantánea reduce nuestras habilidades sociales de lectura de señales complejas y culturales en patrones estandarizados, y "nos hace creer" que una visión clara de los tipos humanos es factible y, de hecho, operativa dentro de las tecnologías de la visión. El artículo propone una actitud más compleja sobre este tema basada tanto en la interacción etnográfica, incluyendo el trabajo de campo, como en las entrevistas en profundidad y en el análisis visual.

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