Chapitre XV. L’essor de la fiscalité royale, du règne de Philippe Le Bel (1285-1314) à celui de Philippe VI (1328-1350)
Metadatas
May 27, 2021
- doi: 10.4000/books.igpde.6421
- isbn: 978-2-11-092605-0
- eisbn: 978-2-11-129448-6
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Similar subjects
Rights, Civil 13th century Duties Fee system (Taxation) Taxation, Incidence of Tax reform Tax policy Taxes Revival of letters Renaissance--Europe Renaissance--History Fortunes Household income Personal income Family income Taxation--Government policy Tax policy Finance, commerce, confiscations, etc Fiscalidad Política tributaria Sistema fiscal Derechos civiles Derechos fundamentales Libertades políticas Libertades públicas Ingresos personales Renta doméstica Renta familiar Contribuciones Contribuciones e impuestos Tributos Taxe professionnelle Impôt Monotonie Répétition Civilisation de la Renaissance Renaissance (subdivision chronologique) +* 1400......- 1599......+:1400-1599: (Renaissance) Cuisine de régime Revenu personnel Revenus Revenu familial Droits civils Avenir Futur Futurologie Prospective Pronostics Impôt, Réforme de l' Réforme de l'impôt Réforme fiscale Harmonisation fiscale Fiscalité Ressources financières Moyens financiers Financement Milieux financiers Finance 13e siècle XIIIe siècle Sciences de la gestion Gestion, Sciences de la Sciences de gestion Techniques de gestion Direction Management Contributions fiscales Fisc Prélèvements obligatoires Masse fiscale Prélèvements fiscaux Système fiscal Imposition (droit fiscal) Taxation Fiscalité Taxes Impôts directs Systèmes fiscaux Redevances (impôt) Rythme (esthétique) Rythme (linguistique) Rythmique Rythme (poétique) taxeCite this document
Albert Rigaudière, « Chapitre XV. L’essor de la fiscalité royale, du règne de Philippe Le Bel (1285-1314) à celui de Philippe VI (1328-1350) », Institut de la gestion publique et du développement économique, ID : 10.4000/books.igpde.6421
Metrics
Share / Export
Abstract
Jusqu’à la fin du règne de saint Louis, les grandes règles qui ont prévalu dans l’organisation des finances seigneuriales dominent toujours la gestion du « budget » royal qui demeure, pour l’essentiel, un « budget » féodal. La prévision y fait le plus souvent défaut et le rythme des dépenses, calqué sur celui des recettes, dépend étroitement de la bonne rentrée des revenus ordinaires. Comme n’importe quel seigneur, le roi est contraint d’en vivre. Tout au long du xiiie siècle encore, droits ...
