28 juin 2021
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Jacques André, « 5. Pâtisserie et entremets », Les Belles Lettres, ID : 10.4000/books.lesbelleslettres.6869
La pâtisserie romaine dut être fort rudimentaire à l’origine, c’est-à-dire à l’âge des bouillies et des galettes tenant lieu de pain, puisque la plupart des gâteaux de Caton portent des noms grecs, encytus, placenta, spaerita, spira, scriblita. Elle quitta peu à peu dans les villes le stade domestique pour devenir l’œuvre de spécialistes, les pistores dulciarii, qui prendront aussi des noms divers d’après les gâteaux qu’ils préparent. Comme il existe des modes également en pâtisserie, les gât...