12 juillet 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Michel Aumont, « Conclusion de la troisième partie », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.115424
Les « moteurs » de la course granvillaise savaient ainsi se montrer opérationnels lorsque les circonstances l’exigeaient. Même si son essor paraissait récent, la cité pouvait s’appuyer sur l’esprit d’entreprise de ses armateurs, leur aptitude à préparer des armements compliqués – nécessitant de gros équipages, d’imposants navires et des investissements conséquents – ainsi que sur la présence et la compétence de ses nombreux matelots. Même si les canons faisaient souvent défaut en période de b...