Le court métrage français de 1945 à 1968

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21 février 2013

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Vincent Amiel et al., « Le court métrage français de 1945 à 1968 », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.2088


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L'âge d'or : Georges Franju, Alain Resnais, Pierre Kast, Jean Mitry, Chris Marker, Agnès Varda, et un sens du collectif dont témoignent, dans les années 50, le groupe des Trente pour la défense du court métrage français ou les critiques de cinéma faisant leurs gammes dans le court métrage avant de lancer la Nouvelle Vague. Les contrebandiers : Luc Moullet, Jean-Daniel Pollet, Jean Eustache ou le producteur Barbet Schroeder qui, dans le contexte moins favorable des années 60, créent une œuvre personnelle en se jouant de la notion de commande et revendiquent les vertus de l'amateurisme. Ce volume n'entend pas seulement rendre hommage aux oeuvres courtes passées à la postérité. Il rappelle le contexte législatif et économique d'une production de films qui ne furent pas conçus pour être vus isolément, mais en « complément de programme » d'un long métrage. Il signale le rôle des producteurs aventureux. Il s'attache aux entrelacements de la fiction et du documentaire à une époque où court métrage était le plus souvent synonyme de documentaire. Il retrace la généalogie du film d'art ou du court métrage expérimental. Autour des grands noms consacrés, c'est tout un vivier, de films qui reste aujourd'hui à redécouvrir.

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