Chapitre XIII. L’octroi sur les « bêtes à pieds fourchés »

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Le Magistrat ne perçoit pas d’impôt sur les viandes consommées dans la ville de Lille mais il prélève des taxes sur les animaux de boucherie vendus sur le marché lillois. D’un rapport modeste à l’origine, l’octroi sur « les bêtes à pieds fourchés » va devenir, notamment avec l’instauration de droits nouveaux dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, une des principales recettes fiscales de la ville. Sa perception sera affermée tout au long du siècle. Si tout enchérissement des bestiaux sur l...

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