16 octobre 2020
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Jean Fallot, « 1er mars », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.72753
Pensée de la mort et plaisir de la pensée L’idée que j’ai déjà émise — être spectateur est un plaisir — m’éclaire un sens de la parole de Pascal : « car il sait qu’il meurt ». Il y a peut-être là autre chose (exactement le contraire) qu’une macération dans la souffrance la plus atroce et que masochisme. Pour qui fait de la pensée un yoga et la contemple, une pensée, quelque atroce qu’elle soit comme pensée particulière (car toute pensée ne peut être que particulière) est en même temps comme l...