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3 mai 2013
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Mots-clés
fuite des cerveaux circulation des savoirs mobilité migrants flux migratoire politique publiqueSujets proches
Traffic volume Labor, Migrant Migrants (Migrant labor) Transient labor Migratory workers Migrant workers Foreign-born population Foreign population Emigrants Foreigners Migrants Scholarship Learning foreigner People's Democratic Republic of Algeria Tránsito Volumen de tráfico Savoirs Habiletés Savoirs-faire Compétence (psychologie) Capacités Incompétence Capacité Compétences Émigrés Expatriés Émigrants Immigrants Population d'origine étrangère Migrants Étranger Pays étrangers Émigration et immigration de personnel hautement qualifié Drainage des compétences Fuite des cerveaux Migration des travailleurs hautement qualifiés Exode des compétences Exode des personnels hautement qualifiés Technologie, Transfert inverse de Évasion des cerveaux Personnel hautement qualifié, Exode du Mobilité internationale des compétences Mobilité internationale des travailleurs hautement qualifiés Cerveaux, Exode des Transfert inverse de technologie Migration de travailleurs Migrants Migrations saisonnières Migration de travail Trafic Écoulement du trafic Circulation routière Circulation automobile Trafic routier Savoirs Connaissances Érudition République algérienne démocratique et PopulaireCiter ce document
Abdelkader Djeflat, « Les compétences algériennes à l’étranger », Hommes & migrations, ID : 10.4000/hommesmigrations.917
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Résumé
La migration des personnes hautement qualifiées en Algérie est souvent perçue comme une fuite des cerveaux. L’État algérien ne s’est toujours pas doté d’outils pour encadrer les migrants à forte valeur ajoutée. Comme si, une fois partis à l’étranger, les hauts potentiels ne pouvaient plus participer d’une manière ou d’une autre au développement de leur pays d’origine. Désormais, il importe de penser ces mobilités non plus en termes de stock de compétences mais selon une logique de circulation des savoirs.