Les langues des voisins : des langues toujours appréciées ?

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1 juin 2011

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Lidil

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Christelle Goffin et al., « Les langues des voisins : des langues toujours appréciées ? », Lidil, ID : 10.4000/lidil.2897


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Résumé Fr En

Sur la base d’une étude européenne, le présent article s’intéresse aux langues que les élèves souhaitent apprendre en plus de celles qu’ils étudient déjà, ainsi qu’à leurs attitudes face aux langues des pays voisins. Les réponses des jeunes interrogés montrent que, si la présence de certaines langues dans la zone (au travers de l’immigration) ou dans des régions géographiquement proches peut contribuer à renforcer la motivation à les apprendre, c’est apparemment d’une façon très limitée. Par ailleurs, si la majorité des élèves reconnaissent l’utilité de connaitre les langues de leur pays et de pays proches, les pourcentages d’avis positifs sont néanmoins plus faibles et les attitudes nettement plus mitigées que dans le cas de l’anglais. Finalement, les résultats obtenus conduisent à nuancer la vision selon laquelle les langues les plus proches de l’environnement de vie des élèves (langues nationales, langues de l’immigration ou langues des pays voisins) seraient d’office celles qu’ils jugeraient les plus dignes d’intérêt.

Based on a European study, this paper deals with the languages that pupils wish to study in addition to those that they are already learning and with their attitudes towards the languages of the bordering countries. The answers of the surveyed pupils show that even though the presence of some languages in the area (through immigration) or in geographically close regions can contribute to strengthen the motivation towards learning those languages, it seems to be in a very limited way. Moreover, while the majority of the pupils acknowledge the usefulness of knowing the languages of their own country and of the bordering countries, the percentages of positive opinions are weaker and the attitudes much more mixed than in the case of English. Finally, the results lead to qualify the vision according to which the geographically closest languages (national languages, languages of immigration or languages of bordering countries) would automatically be seen as the most interesting by the youngsters.

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