Towards an extension of the competence’s field : the soft skills option. Contribution to an agentic approach of professional growth Vers une extension du domaine de la compétence : la possibilité du soft. Contribution à une théorie agentique du développement professionnel En Fr

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1 juillet 2019

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Delphine Theurelle-Stein, « Vers une extension du domaine de la compétence : la possibilité du soft. Contribution à une théorie agentique du développement professionnel », HAL-SHS : droit et gestion, ID : 10670/1.1cpz3c


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Résumé En Fr

In a world described as VICA (volatile, uncertain, complex and ambiguous), major international organizations (European Union, OECD, World Economic Forum, etc.) are multiplying studies to identify the skills of the 21st Century. Their results show that soft skills - skills that are neither knowledge nor know-how - are levers of individual and organizational performance (Carnevale & Smith, 2013). However, the concept of soft skill remains unclear and research on its development is rare (Boyatzis, 2006). The objective of our thesis is to develop a better knowledge of soft skills and their development modalities. To do this, we adopt a qualitative approach using different methodologies and fields of research: a multi-site exploratory study, an intervention research and the study of an extreme case (Yin, 2014). Our results, informed by Bandura's (2001) social cognitive theory, allow us to contribute to a better conceptual understanding of soft skills, to identify the personal and environmental factors of their development and ultimately, to submit recommendations for the implementation of a soft skills approach in organizations.

Dans un monde décrit comme VICA (volatile, incertain, complexe et ambigu), les grandes organisations internationales (Union Européenne, OCDE, World Economic Forum, etc.) multiplient les études pour identifier les compétences du 21ème siècle. Leurs résultats montrent que les soft skills - les compétences qui ne relèvent ni du savoir, ni du savoir-faire - sont des leviers de la performance individuelle et organisationnelle (Carnevale & Smith, 2013). Pour autant, le concept de soft skill reste flou et les travaux concernant leur développement rares (Boyatzis, 2006). L’objectif de notre thèse est de développer une meilleure connaissance des soft skills et de leurs modes de développement. Nous adoptons pour ce faire une démarche qualitative mobilisant différentes méthodologies et terrains de recherche : une étude exploratoire multi-site, une recherche-intervention et l’étude d’un cas extrême (Yin, 2014). Nos résultats, éclairés par la théorie sociocognitive de Bandura (2001), nous permettent de contribuer à une meilleure compréhension conceptuelle des soft skills, d’identifier les facteurs personnels et environnementaux de leur développement et in fine, de soumettre des préconisations pour la mise en œuvre d’une démarche soft skills dans les organisations.

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