Critères pour une meilleure répartition des sièges au sein des structures intercommunales : Une application au cas du Val-d'Oise
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2007
- handle: 10670/1.45gtcw
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Extraterritorial powers of municipalities Municipal services beyond corporate limits Breasts Reapportionment (Election law) Redistricting (Election law) Glándulas mamarias Pechos Senos Représentation équitable One man, one vote, one value Attribution des sièges Surreprésentation électorale Représentation électorale Découpage électoral Réajustement des circonscriptions électorales Remaniement des circonscriptions électorales Inégalité de représentation Ajustement des circonscriptions électorales Sièges, Répartition des Égalité de représentation EPCI Services intercommunaux Coopération intermunicipale Regroupement des services (administration communale) Intercommunalité Syndicats de communes Mutualisation des services intercommunaux Communautés de villes Mutualisation des services communaux Groupements de communes Mutualisation des services (administration communale) Organisations intercommunales Regroupement de communes Districts communaux Établissements publics de coopération intercommunale Intercommunales Communautés de communes Régies intercommunales Conseils de communautés Ententes intercommunales Conseils communautaires Organisations supracommunales Syndicats intercommunaux Seins Mamma pouvoir (concept de)Citer ce document
Fabrice Barthélémy et al., « Critères pour une meilleure répartition des sièges au sein des structures intercommunales : Une application au cas du Val-d'Oise », Revue économique, ID : 10670/1.45gtcw
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Résumé
L’objet de cet article est d’étudier la répartition des sièges au sein des structures intercommunales du département du Val-d’Oise. Nous comparons la distribution observée de sièges à une distribution théorique obtenue à l’aide de la méthode de Webster (ou de Saint-Laguë). La comparaison se fait à partir des indices de pouvoir les plus utilisés dans la littérature, l’indice de Shapley-Shubik et l’indice de Banzhaf.En supposant que la minimisation de la distance entre population et pouvoir est un bon critère, nous montrons que les répartitions de sièges observées ne sont pas les bonnes, que le choix du nombre de sièges à pourvoir est souvent malvenu, et que l’utilisation du jeu de majorité n’est pas forcément adéquate.