19 mars 2015
Ce document est lié à :
Les pratiques contemporaines de consommation de plantes sauvages alimentaires par des habitants des Alpes-de-Haute-Provence interrogés au cours de l’année 2015
Contrat de dépôt signé avec le Musée ethnologique de Salagon. Un contrat d’autorisation a été signé avec chaque informateur.trice. Les fichiers mis en ligne sont des extraits uniquement. , Non consultable
Pauline Mayer et al., « Une technicienne de laboratoire d’origine belge et installée durablement dans le département des Alpes-Haute-Provence donne son point de vue sur la thérapie par les plantes et leur consommation », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.8qzaae
Membre de l’association de découvertes des plantes sauvages comestibles et médicinales “Mille et une feuilles”, cette technicienne participe aux promenades qui y sont organisées. Elle aime cueillir les plantes sauvages de Provence et se remémore les habitudes de cueillette de la Belgique rurale de son enfance. Elle a suivi plusieurs ateliers de formation et s’est elle-même soignée par l’aromathérapie et allothérapie. Elle s’intéresse également à un réseau régional des médecines alternatives. D’après son vécu, les plantes sauvages et sa relation à la nature la régénère.