Word missing. Is there a common language profile? Le manque du mot. Existe-t-il un profil langagier commun? En Fr

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24 juin 2022

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Anne Bragard et al., « Le manque du mot. Existe-t-il un profil langagier commun? », HALSHS : archive ouverte en Sciences de l’Homme et de la Société - notices sans texte intégral, ID : 10670/1.c12044...


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Résumé En Fr

The aim of this study was to see whether children with a developmental language disorder (DLD) characterized by word finding difficulties (WFD) share a similar language profile. Using strict criteria to attest the presence of WFD, it emerged from a sample of 30 children with TDL that (1) 37% of them had WFD, (2) different manifestations of WFD were observed depending on the child: slowness, imprecision, slowness and imprecision; and finally (3) it was difficult to identify children with WFD on the basis of a similar language profile: they were distributed across the different profiles identified by cluster analysis. These data support the hypothesis that WFD in children with DLD may have various origins (semantic, phonological, processing speed). However, further studies are needed to confirm this hypothesis, including longitudinal and intervention studies.

Cette étude avait pour but de voir si les enfants présentant un trouble développemental du langage (TDL) caractérisé par un manque du mot (MM) partagent un profil langagier similaire. En respectant des critères stricts pour attester de la présence d’un MM, il apparaît, sur un échantillon de 30 enfants avec un TDL, (1) que 37% d’entre eux présentent un MM, (2) que différentes manifestations du MM sont observées selon les enfants : lenteur, imprécision, lenteur et imprécision ; et enfin (3) qu’il est difficile d’identifier les enfants présentant un MM sur base d’un profil langagier similaire : ceux-ci se répartissent dans les différents profils identifiés par une analyse en cluster. Ces données soutiennent l’hypothèse que le MM chez l’enfant avec un TDL peut avoir diverses origines (sémantique, phonologique, vitesse de traitement). D’autres études sont toutefois nécessaires pour confirmer cette hypothèse, notamment des études longitudinales et d’intervention.

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