2010
Cairn
Henri Leclerc, « La garde à vue », Après-demain, ID : 10670/1.so2rfc
Même la garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie, a reconnu, lors d’un débat au Sénat, le 9 février dernier, que “ nous nous accordons tous, dans cet hémicycle et au-delà, pour estimer que le nombre des gardes à vue est trop élevé dans notre pays”. S’agirait-il donc d’une sorte de phénomène inéluctable, étranger à la politique pénale conduite par l’actuel gouvernement ?