Conte "Le scarabée ensorcelé" (hazwiyat al-khunfusa' al-mashura)

Fiche du document

Date

2008

Discipline
Type de document
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
Fatima Al-Baydani-Alzawiya - enregistrements - conte

Organisation

MMSH

Licences

Un contrat de dépôt et d’autorisation d’utilisation a été signé entre Fatima Al-Baydani-Alzawiya, l’IREMAM et la Phonothèque de la MMSH lors du dépôt qui s'est déroulé en février 2015 puis en octobre 2016. Une nouvelle convention est en cours en 2017 explicitant plus précisément les usages de ces documents en cohérence avec le début de traitement du fonds. , Consultation en ligne et réutilisation sur autorisation



Sujets proches Fr

Adolescent

Citer ce document

Fatima Al-Baydani-Alzawiya et al., « Conte "Le scarabée ensorcelé" (hazwiyat al-khunfusa' al-mashura) », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.ym167x


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

A l’occasion d’une soirée entre amies, Madame Wahiba, chanteuse et conteuse du quartier d’al-Qaa de Sanaa, raconte l’histoire d’un couple marié qui, malgré toutes ses tentatives, n’a pas pu avoir d’enfants. Désespérée, la femme demande à son mari de prier Dieu ensemble en lui demandant de leur faire concevoir un enfant, quand bien même serait-il un insecte. Neuf mois plus tard, Dieu exauce leurs prières et le couple célèbre la naissance de l’enfant-scarabée, qui les comble de joie. En grandissant, l’enfant-scarabée découvre qu’elle peut enlever sa carapace pour se transformer en une très belle jeune fille dès qu’elle se retrouve toute seule. Un jour, alors qu’elle est seule sur le toit de la maison, le fils de sultan l’aperçoit et tombe fou amoureux de sa beauté. Très épris de la jeune fille, le prince demande le jour suivant sa main à ses parents. Ceux-ci sont très surpris par cette demande, puisqu’ils n’ont pas de jeune fille à marier. Le fils du sultan insiste fortement et l’épouse malgré le refus et la colère de sa propre mère. Au palais du sultan, la jeune mariée subit beaucoup d’injustices et sa belle-mère la charge de toutes les corvées ménagères, qu’elle accomplit avec habileté. Un jour, le fils du sultan décide de l’observer toute une journée en espérant apercevoir la magnifique jeune fille qu’il avait entrevue autrefois sur le toit. Aussitôt qu’elle a enlevé sa carapace de scarabée, le fils du sultan se jette dessus et la brûle immédiatement pour s’en débarrasser définitivement. Très heureux de retrouver sa belle, il se presse de présenter la magnifique jeune fille à sa famille.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en