Le développement du sentiment de pouvoir agir des jeunes face aux changements climatiques à l’école secondaire

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2 février 2022

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Émilie Morin et al., « Le développement du sentiment de pouvoir agir des jeunes face aux changements climatiques à l’école secondaire », Éducation relative à l'environnement, ID : 10.4000/ere.7710


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Devant l’urgence d’agir face aux changements climatiques, les jeunes forment une génération qui a beaucoup à perdre ou à gagner des décisions prises par les groupes plus âgés. Malgré un fatalisme bien documenté, il apparaît de plus en plus évident que les jeunes sont particulièrement concernés par ce phénomène. Une éducation favorisant le développement du pouvoir agir semble ainsi des plus appropriées pour promouvoir une plus grande justice sociale et environnementale. De plus, il s’avère pertinent de s’attarder aux dimensions affectives et, plus particulièrement, à ce que nous nommons le sentiment de pouvoir agir (Morin, Therriault et Bader, 2019). Cet article présente divers appuis théoriques qui illustrent la pertinence de ce concept. Des résultats issus d’entretiens de groupe menés auprès de jeunes Québécoises et Québécois du secondaire montrent également comment le contexte scolaire peut influencer ce sentiment de pouvoir agir.

Faced with the urgent need to act on the social and environmental issue of climate change, young people represent a generation that has much to gain or lose from decisions made by older groups. Despite a well-documented fatalism in the face of environmental issues, it seems more and more evident that young people represent a generation affected by climate change. A climate change education for empowerment thus seems most appropriate for greater social and environmental justice. In addition, it seems relevant, to empower, to focus on its emotional dimensions and, more particularly, on what we call the sense of empowerment. In this article, the theoretical bases which allow us to justify the relevance of this concept are presented. Some results from interviews with young Quebecers in secondary school also illustrate how the school context impacts the sense of empowerment.

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