Professionnalisation et employabilité : deux logiques pour penser l’insertion professionnelle des étudiant.e.s
Fiche du document
2021
- handle: 10670/1.nfq70o
- hal: hal-03464724
Mots-clés
professionnalisation employabilité insertionSujets proches
Job skills Job requirements Qualifications, Vocational Employee skills Potential, Employment Employment potential Aptitudes profesionales Competencias profesionales Cualificaciones laborales Habilidades profesionales Trabajadores--Cualificación Emploi, Aptitude à l' Aptitude à l'emploi Adaptabilité au marché du travail Travail, Aptitude au Aptitude au travail Compétence (psychologie) Capacités Incompétence Capacité Compétences Insertion au travail Accès à l'emploi Intégration au travail Intégration professionnelle Compétence professionnelle Professionnalisation Aptitudes professionnelles Déqualification (sociologie du travail) Aptitude professionnelle Savoirs professionnels Savoir professionnel Capacité professionnelle Compétences professionnelles Capacités professionnellesCiter ce document
Catherine Beduwé et al., « Professionnalisation et employabilité : deux logiques pour penser l’insertion professionnelle des étudiant.e.s », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10670/1.nfq70o
Métriques
Partage / Export
Résumé
Dans le contexte spécifique de la formation supérieure, les notions de professionnalisation et d’employabilité se rejoignent autour de l’insertion professionnelle posée comme objectif premier des études universitaires. En une décennie, les établissements sont entrés dans une logique de performance et de performativité des parcours de formation. La tendance à l’individualisation de ces parcours se repère dans les incitations à la proactivité faites aux étudiant.e.s pour acquérir les compétences spécifiques, transversales ou comportementales qui leur seront utiles pour leur futur professionnel. Leur responsabilité se trouve mise en avant dans le choix d’une formation, d’un stage et, ceci expliquant cela, dans le succès de leur insertion professionnelle qui dépend de leur capacité à savoir valoriser leurs compétences. Là encore et plus que jamais, la question de l’équilibre entre l’accompagnement à l’autonomie et la culpabilité de l’échec se pose.